L'Afrique est le continent qui a connu le plus de coups d'État depuis 1950, avec plus de 200 tentatives, dont plus de la moitié ont réussi¹. Ces événements ont souvent eu des conséquences dramatiques pour les populations, les institutions et le développement des pays concernés. Ils ont aussi mis à mal les relations entre l'Afrique et ses partenaires, notamment la France, qui a souvent été accusée d'ingérence ou de complicité avec les régimes accusés .
Partie 1 : Les nouveaux régimes en Afrique face aux ingérences étrangères : entre rejet et pragmatisme
L'Afrique a connu une vague de coups d'État militaires depuis 2020, qui ont renversé des dirigeants élus ou installés au pouvoir depuis des décennies. Ces changements politiques ont entraîné des contestations des ingérences étrangères, notamment de la part de la France, qui est souvent perçue comme un ancien colonisateur qui cherche à maintenir son influence et ses intérêts sur le continent grâce à la Françafrique, ce réseau complexe et opaque de relations politiques, économiques et militaires entre la France et ses anciennes colonies africaines. La Françafrique est souvent accusée d’être une forme de néocolonialisme, qui vise à maintenir l’influence et les intérêts de la France en Afrique au détriment du développement et de la démocratie des pays africains.
Mais ces nouveaux régimes doivent aussi composer avec les réalités géopolitiques et économiques, qui les obligent à nouer des partenariats avec d'autres acteurs, comme la Russie, qui cherche à renforcer sa présence en Afrique.
La France, une puissance contestée
La France a joué un rôle direct ou indirect dans plusieurs coups d’État en Afrique depuis les indépendances. Elle a parfois soutenu ou facilité des coups d’État contre des dirigeants jugés hostiles ou indociles, comme au Togo en 1963, au Niger en 1974, au Burkina Faso en 1987 ou en Côte d’Ivoire en 1999. Elle a aussi parfois contribué à empêcher ou à réprimer des coups d’État contre des dirigeants considérés comme des alliés ou des amis de la France, comme au Tchad en 2006, au Gabon en 2009 ou au Mali en 2012.
La France est le pays qui a le plus réagi aux coups d'État en Afrique car ayant le plus à perdre, en condamnant fermement ces atteintes à l'ordre constitutionnel et en appelant au retour à un processus démocratique. Elle a aussi suspendu ou réduit sa coopération militaire avec certains pays, comme le Mali ou le Burkina Faso, où elle intervient dans le cadre de l'opération Barkhane contre les groupes terroristes au Sahel, où encore tenu un conseil de guerre lors du coup d'Etat au Niger. Cela dit la France a par exemple adopté une position ambiguë vis-à-vis du coup d'État au Tchad, qu'elle a soutenu malgré sa condamnation officielle, afin de préserver sa relation privilégiée avec le fils de Déby et son rôle stratégique dans la lutte contre le terrorisme au Sahel.
Mais ces prises de position n'ont pas été appréciées par les nouveaux régimes, qui ont accusé la France d'ingérence et d'hypocrisie. Ils ont reproché à Paris de soutenir ou de fermer les yeux sur des dirigeants autoritaires ou corrompus, qui ont violé la Constitution ou truqué les élections pour se maintenir au pouvoir. Ils ont aussi dénoncé le manque de soutien de la France face aux défis économiques et sociaux auxquels ils sont confrontés, notamment la crise alimentaire provoquée par la pandémie de Covid-19 et les sanctions occidentales contre la Russie.
Certains nouveaux régimes ont même affiché leur volonté de se débarrasser de la présence française sur leur territoire. C'est le cas du Tchad, où le Conseil militaire de transition (CMT), dirigé par le fils du défunt président Idriss Déby, a demandé le départ des troupes françaises de la base militaire de N'Djamena. C'est aussi le cas de la Guinée, où les putschistes ont libéré des prisonniers politiques et annoncé la fin du franc CFA, la monnaie commune à 14 pays africains liés à la France par des accords monétaires.
La Russie, une puissance courtisée
Face à la contestation de la France, certains nouveaux régimes se sont tournés vers la Russie, qui a adopté une attitude plus conciliante et pragmatique. La Russie n'a pas condamné les coups d'État en Afrique, mais a appelé au dialogue et au respect de la souveraineté des pays concernés. Elle a aussi proposé son aide dans les domaines de la défense, de l'économie et de la santé.
La Russie est un partenaire important de l'Afrique dans le domaine de l'armement, et le principal fournisseur d'armes du continent¹. Elle a signé des accords de coopération militaire avec une vingtaine de pays africains depuis 2014². Elle a aussi déployé des instructeurs militaires et des mercenaires dans certains pays, comme la République centrafricaine ou le Mozambique, pour former et soutenir les forces gouvernementales face aux groupes rebelles ou terroristes³.
La Russie a également des ambitions économiques en Afrique, notamment dans les secteurs des hydrocarbures, des mines et du nucléaire. Elle a signé des contrats avec plusieurs pays africains pour l'exploration et l'exploitation de leurs ressources naturelles⁴. Elle a aussi offert son assistance pour le développement des infrastructures énergétiques et des projets agricoles⁵.
La Russie a enfin renforcé sa coopération sanitaire avec l'Afrique, en proposant son vaccin contre le Covid-19, le Spoutnik V, à plusieurs pays africains. Elle a aussi annoncé la création de centres de production de vaccins sur le continent, en partenariat avec des pays comme l'Égypte, le Maroc ou l'Algérie⁶.
Les nouveaux enjeux pour l'Afrique
Les nouveaux régimes en Afrique doivent faire face à des défis majeurs pour assurer la stabilité et le développement de leurs pays. Ils doivent aussi gérer les relations avec les puissances étrangères, qui ont des intérêts et des agendas parfois divergents sur le continent.
La contestation de la France n'est pas forcément synonyme de rupture, mais plutôt de renégociation des termes du partenariat. Les nouveaux régimes veulent plus de respect, de réciprocité et de souveraineté dans leurs rapports avec Paris. Ils veulent aussi diversifier leurs partenaires et ne pas dépendre d'un seul pays.
La cour à la Russie n'est pas non plus synonyme d'allégeance, mais plutôt d'opportunisme. Les nouveaux régimes cherchent à tirer profit de l'offre russe, qui est plus flexible et moins contraignante que celle de l'Occident. Ils cherchent aussi à jouer sur la concurrence entre les puissances pour obtenir de meilleures conditions.
L'Afrique est un continent qui attire de plus en plus l'attention et les convoitises des acteurs internationaux. Les nouveaux régimes doivent donc être vigilants et pragmatiques pour défendre leurs intérêts et leur vision du monde.
Partie 2 : Tour d'horizon des coups d'Etat en Afrique Francophone de ces dernières années
Depuis 2020, de nombreux pays d'Afrique francophone ont été secoués par des coups d'État militaires : le Mali, le Tchad, la Guinée, Le Bukina Faso, Le Niger et le Gabon. Quelles sont les causes et les conséquences de ces crises politiques ? Voici un tour d'horizon des principaux faits et enjeux.
Le Mali : deux coups d'État en moins d'un an
Le Mali a connu deux coups d'État en moins d'un an, qui ont plongé le pays dans une profonde crise politique, sécuritaire et sociale. Le premier a eu lieu le 18 août 2020, lorsque des militaires ont arrêté le président Ibrahim Boubacar Keïta, dit IBK, et son Premier ministre Boubou Cissé, après des mois de contestation populaire contre la corruption, la mauvaise gouvernance et l'insécurité liée aux groupes jihadistes et aux violences intercommunautaires².
Les putschistes, dirigés par le colonel Assimi Goïta, ont annoncé la dissolution des institutions et la création du Comité national pour le salut du peuple (CNSP), chargé d'assurer une transition vers des élections démocratiques. Sous la pression de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao), qui a imposé des sanctions économiques et diplomatiques au Mali, les militaires ont accepté de nommer un président et un Premier ministre civils pour diriger la transition, qui devait durer 18 mois.
Mais le 24 mai 2021, un nouveau coup de force a eu lieu : le colonel Goïta a fait arrêter le président Bah N'Daw et le Premier ministre Moctar Ouane, qu'il a accusés de violer la charte de la transition en remaniant le gouvernement sans le consulter³. Il s'est ensuite proclamé président de la transition et a promis d'organiser des élections en février 2022. La Cédéao et l'Union africaine ont condamné ce coup d'État et suspendu le Mali de leurs instances. La France, qui intervient militairement au Mali depuis 2013 dans le cadre de l'opération Barkhane contre les groupes terroristes, a également suspendu sa coopération militaire avec le pays⁴.
Le coup d'État du 24 mai a aggravé la situation déjà précaire du Mali, confronté à une insurrection jihadiste qui s'étend à ses voisins du Sahel, à des tensions sociales exacerbées par la pauvreté et la pandémie de Covid-19, et à une défiance croissante envers les autorités et les forces étrangères. Il a aussi fragilisé le processus de paix issu de l'accord d'Alger de 2015 entre le gouvernement et les groupes armés du nord du pays⁵.
Le Tchad : une succession dynastique contestée
Le Tchad a été frappé par un coup d'État le 20 avril 2021, au lendemain de la mort du président Idriss Déby Itno, tué lors de combats contre des rebelles dans le nord du pays⁶. Déby était au pouvoir depuis 1990, après avoir renversé Hissène Habré. Il venait d'être réélu pour un sixième mandat avec 79 % des voix, lors d'un scrutin boycotté par l'opposition et marqué par des fraudes et des violences⁷.
L'armée, dirigée par le fils du défunt, le général Mahamat Idriss Déby, a annoncé la dissolution du gouvernement et du parlement, et la mise en place d'un Conseil militaire de transition (CMT) pour une durée de 18 mois. Il s'est ainsi attribué les pleins pouvoirs, en violation de la Constitution qui prévoyait que le président de l'Assemblée nationale assure l'intérim en cas de vacance du pouvoir.
Ce coup d'État a suscité la colère de l'opposition, de la société civile et d'une partie de la population, qui ont dénoncé une succession dynastique et réclamé le respect de la démocratie. Des manifestations ont été violemment réprimées par les forces de sécurité, faisant plusieurs morts et blessés. Les rebelles du Front pour l'alternance et la concorde au Tchad (FACT), qui avaient attaqué le régime de Déby, ont également rejeté le CMT et menacé de marcher sur la capitale N'Djamena.
Le coup d'État au Tchad a eu des répercussions régionales et internationales, car le pays joue un rôle clé dans la lutte contre le terrorisme au Sahel. Le Tchad est en effet le principal contributeur à la force conjointe du G5 Sahel, qui regroupe le Burkina Faso, le Mali, le Niger, le Tchad et la Mauritanie, et qui est appuyée par la France et l'Union européenne. Le Tchad accueille également le quartier général de l'opération Barkhane, qui mobilise 5 100 soldats français dans la région.
La France, qui considérait Déby comme un allié stratégique, a apporté son soutien au CMT, en invoquant la nécessité de préserver la stabilité du Tchad et de poursuivre la lutte contre le terrorisme. Elle a toutefois appelé à une transition "inclusive", "pacifique" et "démocratique" dans un "délai raisonnable". L'Union africaine a condamné le coup d'État et demandé le rétablissement de l'ordre constitutionnel. Elle a aussi appelé au dialogue entre les acteurs politiques et à la cessation des hostilités entre les forces gouvernementales et les rebelles.
La Guinée : un coup d'État salué par une partie de la population
La Guinée a été le théâtre d'un coup d'État le 5 septembre 2021, lorsque des militaires ont arrêté le président Alpha Condé, au pouvoir depuis 2010. Le chef des putschistes, le colonel Mamady Doumbouya, a annoncé la dissolution des institutions, la suspension de la Constitution et la fermeture des frontières. Il a également promis la formation d'un gouvernement d'union nationale et l'organisation d'élections "libres et transparentes" dans un délai non précisé.
Le coup d'État est intervenu après des mois de tensions politiques et sociales en Guinée, liées à la révision constitutionnelle de 2020 qui a permis à Condé de se présenter pour un troisième mandat controversé. Condé avait été réélu en octobre 2020 avec 59 % des voix, lors d'un scrutin marqué par des violences et des fraudes. L'opposition, menée par Cellou Dalein Diallo, avait contesté les résultats et dénoncé un "coup d'État électoral".
Le coup d'État a été salué par une partie de la population, qui est descendue dans les rues pour exprimer sa joie et son soutien aux militaires. Les putschistes ont également reçu l'appui de certains leaders politiques, religieux et syndicaux, qui ont participé à des consultations pour définir les modalités de la transition. En revanche, les partisans de Condé ont condamné le coup d'État et exigé sa libération.
La communauté internationale a unanimement condamné le coup d'État et appelé au respect de l'ordre constitutionnel et des droits humains. La Cédéao, l'Union africaine et l'ONU ont exigé la libération immédiate et sans condition du président Condé et annoncé des sanctions contre les auteurs du coup d'État. La France, qui entretient des liens historiques et économiques avec la Guinée, a également dénoncé le coup d'État et demandé le retour à un processus démocratique.
Le Burkina Faso : un coup d'État dans un pays en proie au terrorisme
Le Burkina Faso a été frappé par un coup d'État le 30 septembre 2022, lorsque le président Paul-Henri Sandaogo Damiba a été renversé par un coup d'État militaire mené par le capitaine Ibrahim Traoré, qui a annoncé la formation d'un Conseil national de transition (CNT) pour assurer une période de transition de six mois. Le coup d'État est intervenu après des mois de contestation populaire contre le régime de Damiba, accusé de corruption, de répression et d'incapacité à faire face à la menace terroriste. Damiba lui-même était arrivé au pouvoir par un coup d'État en janvier 2022, après avoir destitué le président Roch Marc Christian Kaboré et l'avoir poussé à la démission.
Le coup d'État a aggravé la situation déjà précaire du Burkina Faso, confronté à une insurrection jihadiste qui s'étend à ses voisins du Sahel, à des tensions sociales exacerbées par la pauvreté et la pandémie de Covid-19, et à une défiance croissante envers les autorités et les forces étrangères. Il a aussi fragilisé le processus démocratique issu de la révolution populaire de 2014, qui avait mis fin au règne de Blaise Compaoré, au pouvoir depuis 1987.
Le coup d'État a été condamné par la communauté internationale, qui a appelé au respect de l'ordre constitutionnel et des droits humains. La France, qui intervient militairement au Burkina Faso depuis 2013 dans le cadre de l'opération Barkhane contre les groupes terroristes, a également dénoncé le coup d'État et suspendu sa coopération militaire avec le pays.
Le Niger : un coup d'État dans un pays en proie au séparatisme
Le Niger a été le théâtre d'un coup d'État le 26 juillet 2023, lorsque le président Mohamed Bazoum a été destitué par un coup d'État militaire orchestré par le général Abdourahamane Tchiani, qui a proclamé la dissolution des institutions et la suspension de la Constitution. Il a également promis la tenue d'élections "libres et inclusives" dans un délai de douze mois. Le coup d'État est survenu dans un contexte de crise politique et sécuritaire au Niger, marqué par la persistance du conflit entre les séparatistes touaregs et les forces gouvernementales dans la région d'Agadez, ainsi que par les attaques des groupes terroristes Boko Haram et État islamique en Afrique de l'Ouest (ISWAP) dans la région de Diffa. Bazoum était au pouvoir depuis avril 2021, après avoir été élu avec 55 % des voix, lors d'un scrutin contesté par l'opposition et entaché de fraudes.
Le coup d'État a plongé le Niger dans une profonde crise politique, sociale et humanitaire, qui menace la stabilité et le développement du pays. Il a aussi compromis les efforts de dialogue et de réconciliation entre les acteurs politiques et les communautés ethniques. Il a également mis en péril la coopération régionale et internationale pour faire face aux défis sécuritaires et environnementaux auxquels le Niger est confronté.
Le coup d'État a été condamné par la communauté internationale, qui a exigé le rétablissement de l'ordre constitutionnel et la libération du président Bazoum. La France, qui est le principal partenaire du Niger et qui y dispose d'une base militaire, a exprimé sa "ferme condamnation" du coup d'État et sa "pleine solidarité" avec le président Bazoum. L'Union africaine, la Cédéao et l'ONU ont également dénoncé le coup d'État et appelé au respect de la Constitution et de l'État de droit.
Le Gabon : un coup d'État avorté et un réussi
Le Gabon a été la cible d'une tentative de coup d'État le 7 septembre 2021, lorsque des militaires ont pris le contrôle de la radio nationale et ont appelé le peuple à se soulever contre le régime du président Ali Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 2009. Le chef des mutins, le lieutenant Kelly Ondo Obiang, a déclaré vouloir mettre en place un "Conseil national de restauration" pour mettre fin à la "confiscation du pouvoir" par la famille Bongo, qui dirige le pays depuis 1967.
Le coup d'État a échoué grâce à l'intervention rapide des forces loyalistes, qui ont arrêté les mutins et rétabli l'ordre. Le gouvernement a affirmé que la situation était sous contrôle et que les institutions fonctionnaient normalement.
Le coup d'État est survenu dans un contexte de crise politique et sociale au Gabon, marqué par la maladie du président Bongo, victime d'un accident vasculaire cérébral en octobre 2018, qui l'a rendu absent et affaibli. Bongo avait été réélu en 2016 avec 50,66 % des voix, lors d'un scrutin contesté par l'opposition et entaché de violences et de fraudes. Il avait également fait face à des manifestations contre la révision constitutionnelle de 2018, qui lui donnait plus de pouvoirs.
Lors des dernières éléctions en date les soupçons de fraudes éléctorales, la coupure des réseaux et d'internet et plus généralement la corruption décomplexée ont poussés des officiers supérieurs de l'armée à prendre le pouvoir et mettre un terme au règne de la famille Bongo.
Vers 4 heures du matin le 30 aôut 2023, les putschistes ont pris le contrôle de la télévision nationale et ont diffusé un message informant le peuple de l'annulation des éléctions et de la "mise à la retraite" du président Ali Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 2009.
Le coup d’État est intervenu dans un contexte de crise politique et sociale au Gabon, liée à la maladie du président Bongo, victime d’un accident vasculaire cérébral en octobre 2018, qui l’a rendu absent et affaibli. Bongo avait été réélu en août 2023 avec 64 % des voix, lors d’un scrutin marqué par des violences et des fraudes.
Les putschistes ont accusé le régime de Bongo de “confisquer le pouvoir” depuis plus de 50 ans, de “piller les ressources” du pays, et de “mépriser la Constitution” en se faisant réélire pour un troisième mandat. Ils ont aussi dénoncé la corruption, le chômage, et la pauvreté qui touchent une grande partie de la population.
Sources
Partie 1 :
(1) La déstabilisation en Afrique : opérations secrètes pour la .... http://www.isd.sorbonneonu.fr/blog/la-destabilisation-en-afrique-operations-secretes/.
(2) L’« ingérence démocratique » en Afrique comme ins… – Études .... https://www.erudit.org/fr/revues/ei/2014-v45-n3-ei01626/1027554ar/.
(3) Pourquoi la France fait face à tant de colère en Afrique de l'Ouest .... https://www.bbc.com/afrique/region-59548555.
(4) Géopolitique : que veut la Russie en Afrique - BBC. https://www.bbc.com/afrique/region-62347112.
(5) La Russie est-elle aujourd'hui une puissance majeure en Afrique?. https://www.bbc.com/afrique/region-50143025.
(6) Burkina Faso : "La Russie veut jouer un rôle discret en Afrique". https://information.tv5monde.com/afrique/burkina-faso-la-russie-veut-jouer-un-role-discret-en-afrique-86794.
(7) La Russie est-elle un acteur clé en Afrique - BBC. https://www.bbc.com/afrique/region-46811868.
Partie 2 : (1) Pourquoi y a-t-il tant de coups d'État en Afrique de l'Ouest - BBC. https://www.bbc.com/afrique/region-53910717 .
(2) Afrique de l’Ouest : pourquoi tant de coups d’État - Le Figaro. https://www.lefigaro.fr/international/afrique-de-l-ouest-pourquoi-tant-de-coups-d-etat-20230826.
(3) Coups d’État en Afrique de l’Ouest: une redistribution des ... - RFI. https://www.rfi.fr/fr/afrique/20211229-coups-d-%C3%A9tat-en-afrique-de-l-ouest-une-redistribution-des-cartes-politiques.
(4) Tentative de coup d’État au Gabon: le président Ali Bongo en résidence surveillée, selon des putschistes. https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230830-tentative-de-coup-d-%C3%A9tat-au-gabon-le-pr%C3%A9sident-ali-bongo-en-r%C3%A9sidence-surveill%C3%A9e-selon-des-putschistes.
(5) Coup d'État au Gabon : Ali Bongo est en résidence surveillée, selon les putschistes. https://www.aa.com.tr/fr/afrique/coup-détat-au-gabon-ali-bongo-est-en-résidence-surveillée-selon-les-putschistes-/2979102.
(6) Coup d’Etat au Gabon : le président Ali Bongo placé « en résidence surveillée » par des militaires. https://www.sudquotidien.sn/coup-detat-au-gabon-le-president-ali-bongo-place-en-residence-surveillee-par-des-militaires/.
(7) Coup d'Etat au Gabon : Qui est Ali Bongo, président déchu du Gabon - BBC. https://www.bbc.com/afrique/region-66656270.
(8) EN DIRECT - Coup d’État au Gabon : «Toutes les institutions de la .... https://www.lefigaro.fr/international/en-direct-coup-d-etat-au-gabon-toutes-les-institutions-de-la-republique-sont-dissoutes-annoncent-les-putschistes-20230830.
(9) Coup d'État de 1964 au Gabon — Wikipédia. https://bing.com/search?q=coups+d%27etat+au+Gabon.
(10) La Françafrique des coups d’État - Revue Relations. https://cjf.qc.ca/revue-relations/publication/article/la-francafrique-des-coups-detat/.
(11) Le retour des coups d'Etat en Afrique francophone - DW. https://www.dw.com/fr/le-retour-des-coups-detat-en-afrique-francophone/a-61714131.
(12) En chiffres: Coups d'État en Afrique — Reportage spécial de VOA. https://projects.voanews.com/african-coups/french.html.
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